La successeure de Sébastien Lecornu estime que "se souvenir est un devoir pour construire l’avenir. Célébrer les valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité qui nous unissent aussi".

Je me rends en #Guadeloupe où j’assisterai à la cérémonie de commémoration de l’abolition de l’esclavage du 27 mai à Basse-Terre. Se souvenir est un devoir pour construire l’avenir. Célébrer les valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité qui nous unissent aussi. #OutreMer pic.twitter.com/DcGW3r1XxV

— Yaël BRAUN-PIVET (@YaelBRAUNPIVET) May 26, 2022

Lors de sa nomination en tant que ministre des Outre-mer, elle n'avait donné aucune indication sur son premier déplacement dans les Outre-mer.

Le 23 mai, la ministre s'est engagée à ce qu'aboutisse le projet de mémorial pour les victimes de l'esclavage, promis par Emmanuel Macron, mais que les associations s'impatientent de voir se réaliser. "Dire le nom des victimes de l’esclavage, c’est rappeler leur humanité, honorer leur citoyenneté" avait-elle alors déclaré.

Dans une tribune, la Fédération guadeloupéenne du Parti socialiste "souhaite la bienvenue à la nouvelle ministre des Outre-mer", mais note que "la visite intervient en pleine période de réserve imposée aux ministres". Dans le cadre des élections législatives, "les socialistes de Guadeloupe ne sont pas dupes de cette manoeuvre à visées manifestement électoralistes", fustige le parti qui craint une visite plus politique que mémorielle.

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